dimanche 14 février 2010

Saint Amour.

Dans la famille des amoureux je demande le père. Pioche. Bonne pioche. Dans la famille des amoureuses je demande la mère. Pioche. Bonne pioche.
Il y a des histoires d’amours qui finissent mal, d’autres qui commencent bien. Certaines qui finissent avant de commencer et d’autres, plus banales qui se passent sans trop d’éclats de voix.
En ce jour très marketing de la Saint Valentin me revient en mémoire l’anecdote piochée en début de semaine dans Le Parisien et qui concerne Brigitte Bardot.
La bombe sexuelle française des années 60 a refait parler d’elle lors de la sortie d’un livre autobiographique de Patrick Balkany, le député maire de Levallois-Perret. Le fanfaron des Hauts de Seine y décrit une liaison avec la star de cinéma. Celle-ci dément. Bien sûr. Le maire s’en fiche il vend du « papier » comme on dit dans le jargon de l’édition. Plus madame Bardot se cabre, plus la réimpression du livre approche. En fait peut m’importe de savoir si « ce gros plouc menteur » comme l’appelle BB a réellement couché avec la star, c’est la petite phrase relevée dans le livre qui éclaire ce 14 février à cœur ouvert. BB aurait dit « Je ne peux pas coucher si je ne suis pas amoureuse ... mais je peux tomber amoureuse trois fois par jour ».
Personne ne dit si ce jour était celui de la Saint Valentin.

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