dimanche 15 juillet 2007

Deux secondes pour vous dire ...

... avant d’oublier.

A marquer sur l’ardoise de la cuisine :
- Penser à acheter une lampe torche pour y voir clair dans l’affaire Clearstream.
- Est-ce Jack & Nick vont devenir les Starsky et Hutch du toilettage constititionnel ?
- Pourquoi Sarkozy débauche-t-il plus d’hommes que de femmes ? La vénalité et le goût du pouvoir se conjugueraient-il au masculin ?
- S’abonner à Paris-Match pour avoir des nouvelles de Ségolène.
- Ne pas suivre les conseils de ELLE pour être meilleure au lit. Ça donne plutôt envie d’être nonne.



Il y a 10 ans
Mardi, 15 juillet 1997.
Fille de putt.

En cette période estivale quoi de mieux que le Tour de France pour se mettre en selle et aller muscler le palpitant au rythme des randonnées ponctuées d’incessants changements de braquet mais aussi d’un mal au séant (restons polies) plus que décourageant. Le vélo, très peu pour moi. Si c’est pour avoir les jambes de Jeannie Longo, non merci.
Les vacances au bord de la mer vous poussent à jouer les sirènes et à passer le temps en apnée, brassant l’eau et se nettoyant les conduits nasaux à grand renfort d’eau salée. La natation très peu pour moi. Si c’est pour avoir des épaules de déménageuses d’ex-RDA, non merci!
Le terrain de tennis qui me tend les bras à deux pas du bungalow a des atours tentants. Mais le fait de frapper une balle d’un seul côté pendant une quinzaine, risque, à force d’exercices, de modifier à jamais le galbe parfait de mon bras droit. Le tennis très peu pour moi. Si c’est pour avoir les biscottos d’Aranxta Sanchez, non merci!
Alors, pour ne pas avoir à renouveler entièrement ma garde-robe, j’ai décidé de me mettre au golf. Le professeur, mignon comme un coeur au demeurant, fait bien son métier puisqu’il me répète à longueur de leçon que la force pure et l’endurance ne sont pas indispensables pour danser le swing à la perfection. Si ce n’est quelques Marie-Charlotte, Bérangère et autres Gaétanne, le décor est assez agréable. Si ça se trouve c’est en jouant le coup parfait au trou N°5 que Coco Chanel a eu l’idée de baptiser son parfum. Sans oublier le N°19 qui pourrait devoir son nom a une mémorable biture au Club House.

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