mardi 3 juillet 2007

Le mur du cent.

Une ligne droite de stade olympique. Mètre après mètre. Jour après jour. Pas de record de vitesse. Plutôt un « exploit » d’endurance, de ténacité et de discipline. Voilà pour les fleurs.
Côté épines, des coups de moins bien. Des jours sans, comme on dit dans le jargon des sportifs qui ratent un rendez-vous. Des coups de fringale à la manière des grimpeurs du Tour de France en haute montagne.
J’espère au moins qu’il y aura eu dans ces 99 précédentes chroniques, quelques bons moments de lecture.
Alors Madame Placard, partante pour les prochains cent mètres ?
On va essayer.
Sur une piste d’athlétisme, cette distance se parcoure en virage. Alors je souhaite seulement ne pas sortir de la piste.




Il y a 10 ans
Jeudi, 3 juillet 1997.
Cinéma en noir et noir.

Robert Mitchum hier et James Stewart aujourd’hui, c’est ce qu’on appelle une double faute du bon dieu des acteurs. C’est trop dur de faire de beaux discours quand des types bien se font la malle dans les coulisses éternelles du cinoche.
Alors allez voir ou revoir deux des films du classement des Placards d’Or. « La nuit du chasseur » de Charles Laughton avec Robert et « La vie est belle » de Frank Capra avec James Stewart.
Dire qu’hier encore je vous parlais de « Monsieur Smith au Sénat ».
I’m a poor lonesome spectator!
THE END.

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